Le gouvernement congolais est actuellement en pourparlers avec des groupes responsables de violences passées, y compris l’AFC/M23, qui ont occupé militairement les villes de Goma et Bukavu. Face à cette situation, Martin Fayulu, leader politique engagé, exprime son inquiétude et appelle à un dialogue inclusif, soulignant l’urgence de rassembler toutes les parties prenantes autour d’une table de négociation.

s’interroge Fayulu, mettant en lumière la complexité de la situation politique actuelle. Il insiste sur l’importance de ne pas donner de prétexte à quiconque pour s’exclure du processus de dialogue. Selon lui, la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) et l’Église du Christ au Congo (ECC) doivent jouer un rôle central dans cette initiative, car elles sont perçues comme des médiatrices crédibles.

« Tout le monde doit venir pour le dialogue de la vérité, de la réconciliation et de la cohésion nationale, c’est ça le camp de la patrie », a-t-il déclaré, appelant à l’unité dans un contexte de difficultés croissantes pour le pays. Fayulu souligne que la RDC fait face à d’énormes défis, et qu’il est impératif de trouver des solutions collectives.

« Je suis Congolais, et je crois en la capacité de notre nation à surmonter ces épreuves. Si des résolutions sont prises lors de ce dialogue, je m’engage à y participer et à les accepter », a-t-il ajouté, exprimant son désir de contribuer à un avenir meilleur pour la RDC.

Fayulu appelle ainsi à un engagement sincère de toutes les parties, en espérant que ce dialogue pourra ouvrir la voie à une réconciliation durable et à une paix stable dans le pays.

Robyzon Banza depuis Kasaï-Oriental