Les travailleurs du secteur commercial à Kinshasa, majoritairement d’origine indo-pakistanaise, poursuivent leur mouvement de grève entamé il y a trois jours. Ils exigent la signature du Service d’Inspection de la Main-d’œuvre et des Garanties sociales (SIMG) par le Premier ministre, conformément aux recommandations formulées par le ministre du Travail.

Ce mercredi 28 mai, la situation dans certaines zones de la capitale est marquée par une paralysie totale des activités commerciales. Les commerces demeurent fermés, et l’absence d’affaires crée une atmosphère tendue au sein des quartiers touchés par le mouvement.

Les grévistes expriment leur frustration face à l’inaction gouvernementale et insistent sur l’importance de leurs revendications pour garantir de meilleures conditions de travail et des droits sociaux. L’absence d’ouverture des commerces illustre l’ampleur de cette mobilisation qui continue d’affecter la vie économique locale.

Les autorités locales sont appelées à réagir rapidement pour apaiser les tensions et trouver une issue favorable à cette situation. Alors que le mouvement se poursuit, les travailleurs espèrent que leur voix sera entendue et que des mesures concrètes seront prises pour répondre à leurs attentes.

Robyzon Banza depuis Kasaï-Oriental