Deux façons de prévenir le cancer du col de l’utérus, un danger de mort pour les femmes (Dr Jean Marc)
Le papilllomavirus humain est le vecteur principal du cancer du col de l’utérus. Cette maladie n’a pas, pour la plupart des cas, des symptômes proprement elle.
Par conséquent, il est encouragé aux femmes de se faire, le plutôt possible, dépister afin de se soigner. La finalité de cette maladie, surtout non soumise aux soins, c’est la mort comme tout cancer.
Docteur Jean-Marc, médecin directeur de la clinique Marie-Claire à Bunia, dans la province de l’Ituri, explique mieux et donne deux grands moyens de la prévention.
«[…] C’est une maladie chronique liée à des multiplications anormales de certaines cellules. Les symptômes ne sont pas fréquents, il n’y en a pas vraiment… C’est une maladie asymptomatique, causée par, notamment, des infections et pertes blanches en répétition […]» a indiqué cet expert en santé, avant de poursuivre ;
«[…] Le virus papillomavirus humain, qui en est l’élément causal, est plus observé surtout auprès d’une femme qui, en mainte reprise, est infectée et développe des infections génitales. Cet individu devient, du coup, un terrain favorable pour la multiplication de ces virus [papillomavirus humain] qui aggravent la survenue du cancer du col. Les risques à courir, c’est la mort […]»
Comment prévenir ?
Nous conseillons, tout d’abord, aux femmes à un certain âge, de se faire dépister. Le cancer du col, c’est aussi un cancer qui peut être guéri, si on le diagnostic tôt…
En second lieu, il est indispensable de bien soigner des infections génitales qui peuvent survenir le long de la vie.
Plusieurs femmes laissent développer un certain nombre des maladies génitales sans traitement adéquat, malheureusement pour elles, il y a lieu de craindre une probabilité du développement d’un cancer du col de l’utérus. L’automédication, n’en est pas du reste…
Zacharie Asimoni