
Bunia: Un acteur sociopolitique émet son opinion sur la dernière interpellation de Mme Bubulenga de la CNPR
La directrice provinciale de la Commission Nationale de Prévention Routière (CNPR) en Ituri, a été interpellée par la Police Nationale Congolaise (PNC) dans la soirée du jeudi 28 août 2025.
Selon des sources concordantes, son nom aurait été cité par des présumés criminels urbains récemment arrêtés à Bunia. Ces derniers l’ont accusée de leur avoir apporté un soutien financier qui était à la base de l’insécurité urbaine dénoncée ces dernières semaines. Elle a été relâchée quelques heures plus tard du même jeudi.
Ce vendredi, 05 septembre 2025 devant la presse, l’acteur politique Luc Malembe prend la défense de madame Irène Bubulenga en pensant que les criminels qui l’ont incriminée sont ceux qui la combattent et utilisés par ses adversaires vu la qualité de son travail à la tête de la CNPR/lturi. Luc Malembe reconnaît que la directrice de la CNPR/lturi a été interpellée par la police pour écouter sa version des faits et qu’elle a été lavée de tout soupçon, contrairement aux allégations selon lesquelles elle serait été arrêtée.
«J’avais déjà dit que madame Irène, moi je ne voyais pas l’intérêt qu’elle avait de soutenir ou de financer un réseau des criminels qui a tué les agents de FFN (Fonds Forestier National), de l’OCC (Office Congolais de Contrôle), qu’est-ce qu’elle allait gagner ? Si même au moins il y avait quelqu’un de son service qui était tué, nous pourrions pensé que peut-être ils avaient des conflits et voilà… Moi je continue à suivre le dossier jusqu’à ce que nous allons trouver le vrai commanditaire de ces tueries. Il ne faut pas qu’on commence à accuser des innocents, cette femme fait du travail à la CNPR, toute la ville on a vu la signalisation qu’elle fait, le traçage, des signaux lumineux qui sont mis…», défend Luc Malembe.
Madame Irène Bubulenga a été interpellée par la Police Nationale Congolaise (PNC) suite aux allégations qu’elle aurait apporté un soutien financier aux criminels qui ont semé la terreur les deux dernières semaines dans la ville de Bunia. Ce qui est totalement faux, raison pour laquelle elle a été invitée par la police pour écouter sa version des faits et puis relâchée quelques heures plus tard.
Rédaction
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